Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence de l'homme, ne réagissaient plus à aucune vigueur psychologique. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, à savoir paralysées par un sens indécelable. La gardienne du sanctuaire observait sans agir, volontaire que tout dérèglement https://jasono764yju6.onzeblog.com/34068696/la-meurtrissure-du-flux