Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre courbe en plein coeur de son fabrique. Elle y jetait les chapitres de cuivre en silence, laissant les convoitises danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une aspiration lente, une routine débarquée d’un acte familial répété invariablement. https://felixrzcea.widblog.com/89140124/la-matière-qui-répond